La nuit ,la brume , le brouillard
Tout se couvre
Chacun s'appelle à la corne de brume
Comme si la conque sonnait le rassemblement des ombres
Puis le paysage s'éclaircit sans avoir emmené au passage
Une humanité sous forme de fantômes
Une vue idyllique illusoire où rien n'est plus permis
Impossible de penser à un passé , un autrefois
Juste un présent permanent ,toute idée d'avenir
Voudrait dire que l'on peut mieux faire
Elle avait l'angoisse du vent qui viendrait balayer son monde
De cette neige qui viendrait recouvrir
Un froid qui saisit comme un présent permanent
Des arbres nus qui ne pourraient plus retenir dans leurs branches
Elle voudrait des écrits tôts avant que le soleil ne les dénoncent
Des feuilles blanches comme la lune et s'y confondraient
Avec des mots comme la nuit parce que la lune faisant partie
D'elle n'éclaire que le monde des hommes
Un monde d'Isa qui ressemblerait à celui d'un Asa
Indice de sensibilités photographiques
Pas la couleur Isabelle parce que le Soleil doit rester Roi
Une Isa Belle qui brille dans un lieu d'espoir , de renaissance
Loin des prairies vertes de jalousies ,des gardens partis
Une biche dans un jardaim sans bois
Pour ne pas être aux abois ,ni à ceux des chiens quand la
Caravane de l'absolu passe
Son murmure libérateur qui éteind de son ruisceau
Le feu qui s'empare de la Terre ,des inondations sans promesse
De Noé ,un monde qui devient fou ou ouf de violence
Une nuit redoutée avec ses peurs , ses cris , ses angoisses , ses Cauchemars
Une nuit réveillons
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