Sur le quai de la gare,des trains dans la brume s'égarent,
Je regarde s’effacer ,le wagon qui vient de me quitter,
A l'intérieur ma dulcinée,part vers un destin tracé,
Nous aurions put nous aimés,si tout c'était bien passé,
Plein de sensibilité,je retiens mes larmes de coulées,
A autre chose je dois songer,pour arriver a l'oublier,
Pres de moi un couple échange, de langoureux baisés,
Ils viennent de se retrouver, sur ce quai abandonné,
Derrière moi,la porte viens de ce refermé sur mon passé,
Seul je vais rentré,pour continuer à rêver de l'éternité,
Prendre mon cahier,et noté cette dernière journée,
J'écrirais mes mots les plus beaux,pour assainir mes maux,
Mais au fond de mon cœur,il est mort le bonheur.
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lagrib
"D'Amour je ne me "lace",je vais du coup tel "un va nu-pieds"