Le 29 ils firent du neuf.
La fête des voisins battait son plein.
Les plaintes des passés, dépassées, se noyaient dans les vins neufs.
Les enfants couraient sur les parterres et se roulaient à terre en riant à pleines dents.
Les parents furent contents de cette soirée où tout était cash sans clash, les enfants se cachaient encore.
Cash, cache, pour un vingt neuf tout neuf.
C'était le mois de mai, alors faites ce qui vous plait...
Les voisins s'embrassèrent sans se regarder de travers.
le cochon sacrément bon ne faisait plus la tête, il était à la fête.
La nuit vint, c'était l'heure, les senteurs d'alcool décollèrent et parfumèrent le grand air.
La musique était très poétique, si sympathique, ils avaient dansé en rythme, vin à la main.
L'espace fut libéré, bientôt l'été, les aires prirent leur aise, l'ère en rêve.
Minuit arriva, le 30 s'imposa faisant promettre à tous de se mettre sur leur 31 pour la prochaine... fête des voisins.

Une fête des voisins si bien contée.....c'est vivant, entre vin et ripailles....

***DAN***....

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*** Un bonheur aplanit cent malheurs ***

Bonjour Lignecourbe, une fête joliment poétisé

Amicalement

Bonjour Lignecourbe,

Une fête des voisins très bien esquissée en ta belle poésie!



Belle journée!
Amitiés
Sybilla

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Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates ""réelles"" de parution.

Le rêve est le poumon de ma vie (Citation de Sybilla)

J'ai bien aimé ta joyeuse fête des voisins !

une fête joliment poétisée