Sur son visage ,il dessine un sourire,
C'est plus facile, pour cacher le passé,
Depuis toujours,il apprend à ne rien dire,
Souffrir en silence ,es dans sa destinée,
Plus les années passent,plus il s'éteint,
Il ne perçoit plus les vraies illusions,
Son corps n'est plus que persécutions,
De jour en jour il perd un peu de destin,
Le clown dans sa loge,pleure Venise,
Il y a longtemps qu'il n'écrit plus à Elise,
Sur le quai des souvenirs il la laissée,
Depuis bien des marées sont passée,
Sur ses cahiers,bien des mots effacés,
Ça poubelle est pleine de papiers froissés,
Devant l'hôtel des poètes,il se confesse,
Il écrit sans réflexes,ni accents circonflexe,
Ses mots sont tous fait de détresse,
Pour lui ,plus rien ne presse,
Dans un coin de sa tête, des lettres manuscrites,
Jamais il ne les auras écrites,
Le clown ce confesse,pour que rien ne cesse,
Vous êtes ça seule vraie richesse,ça faiblesse.
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lagrib
"D'Amour je ne me "lace",je vais du coup tel "un va nu-pieds"