Le soleil brillait déjà ,ce matin là ,
Quand le paysan sorti de chez lui,
Monté sur sont tracteur, il allait semé,
Quand il aperçu une nuée,de corbeaux.
Il se dit,qu'il faudrait un épouvantail,
Pour éviter de perdre toutes sa semence,
Il fit donc demi-tour,afin de concrétiser son idée,
Fabriquer un épouvantail,était son premier travail.
Très agile de ses mains,la tache semblait aisée,
Quelques bouts de bois ,ferais bien l'affaire,
La structure montée,il manquait qu'a le vêtir,
Notre paysan vivait seul depuis bien des années.
Il décida qu'une tenue féminine,serait appropriée,
Ayant gardé,les vêtements de sa femme partie,
Avec un facteur il y a déjà bien des années,
Trouver la tenue, avais facilité son idée.
Ouvrant la vieille malle,ces yeux virent en premier,
Une très belle robe de mariée,
Restée blanche malgré les années,
Voilà notre pantin habillé,comme l'homme l'avais rêvé.
Depuis ce jour, plus un corbeau ne gêne le petit village,
Car tous sont chez notre pauvre petit paysan,
Les volatiles noirs étant attirés par la tenue blanche,
Ils prirent tous l'épouvantail pour attraction.
Ils ne se nourrissaient pas des graines semées,
Mais aimaient se couchés près de leurs trophée,
Notre paysan pouvait dormir tranquille dorénavant,
En cas d'intrusion les corbeaux donnais l'alerte aussitôt.
On raconte au village ,que le vieux paysan sage,
Avais trouvé une épouse,qui attirait des oiseaux ,
Toujours vêtue de banc, elle sortait dans les champs,
On dit aussi ,que la dame blanche n’était pas une fable.
Après faut-il toujours croire aux on-dit?
Dans nos montagnes ,la douce folie,
Fait croire à bien des fourberies,
Et mère poésie ,y rajoute un esprit.
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lagrib
"D'Amour je ne me "lace",je vais du coup tel "un va nu-pieds"