Note de la killeuse de rimes :
Je ne suis pas rentrée dans la peau d'une meurtrière par hasard. En effet, qui n'a jamais eu envie de "trucider" son voisin trop bruyant, son collègue moqueur, une personne en somme qui a pu d'une quelconque façon que ce soit, nous blesser ou nous heurter sérieusement ? Si le passage à l'acte est condamné, pourquoi ne pas condamner aussi la pensée qui pourrait conduire à celui-ci ?
Je souhaite être jugée sévèrement par la justice Oasienne. Ne m'épargnez surtout pas !
:-)