Vous grelottiez, au vent métastasé
A trop saturer, les souvenirs de l'ondée
Qui embrasaient les déserts inespérés
A trop intimider, les mensonges accordés.

Vous fantasmiez, esseulé, sa main vénérée
Ses grains d'amour, disséminés en votre pensée
Une griffe, avisée et soignée
Palpitante et solitaire en cette vie désillusionnée.

N'entendez vous pas, le souvenir en liberté
Où chaque heure, chaque éclat à peine nés
Vous charment au soleil de la fête en été
N'entendez vous pas, les gouttes de pluie tomber.




Provencao-Colline

très beau poème, à mon humble avis, bravo

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j'adore!!
merci Vé
des bises

à lire et à relire...
Que c'est beau!!

merci
bonne journée

j'aime beaucoup, comme si l'âme devait se distraire (avec la pluie) pour oublier ses tourments (les souvenirs), une plume qui a beaucoup de charme



yann

Avec mes amitiés,

Line

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Se soucier de l'orthographe, petite chose futile, c'est faire acte de résistance.

Bonjour
C'est très beau à lire. Merci pour le partage.

Je l'ai lu et réélu, a lire encore ce poème profond, fin, beau !
Excellent !
Très bonne journée ! avec mon amitié !