Un serpent qui se mord la queue
Au grand jamais ne s’empoisonne
M’affirmait l’accent rocailleux
Un cobra né dans cette zone

Vois-tu il serait infecté
Si un reptile d’un autre ordre
Surtout dans les vipéridés
Venait perfide la lui mordre

Crois-moi son compte serait bon
Si la mordillait amoureuse
Cette vipère du Gabon
Jalouse autant que venimeuse

Forte de ses crochets pointus
Cette foudroyante africaine
Tuerait la céraste cornue
Egratignant sa queue à peine

Ces propos furent ravageurs
Et bien qu’ils m’aient laissé sceptique
Avec ma femme de couleur
J’exclus depuis quelques pratiques…

Bonjour Zutalor, une très interressante poésie dont personne ne pourra dire qu'elle est sans têtes ni queues.
Bravo et merci pour ce serpentin et bel instant.
Amitié.

Capricorne

Je me positionne dans la queue leu leu de ceux qui attendent de voir la suite...

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Christian RAY avec Michel Drucker et Patrice Laffont

une jolie inspiration

Bonsoir Jacques

Une plume qui a du mordant Vous avez raison faut se méfier de certaines pratiques...

Toujours cet humour percutant.

Amitié Marie

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Bonsoir Zutator,

Très belle inspiration poétique !



Bonne soirée !
Mes amitiés
Sybilla

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Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates "réelles" de parution.


Le rêve est le poumon de ma vie (citation de Sybilla)