Ballade à Eros...
Alors que tu t’es dénudée,
Que mes lèvres frôlent tes seins,
Je sens ton ventre se creuser,
Pour offrir ton dos à mes mains.
Aphrodite nous tend ses liens,
Ce n’est plus simple caprice,
Vivre l’amour te va si bien...
Tu es mon feu d’artifice !
Par nous, tu te dis sublimée.
Je te le murmure sans fin,
Tu es superbe et raffinée.
Nous ne cessons d’être câlin,
Et rien n’affecte ton entrain.
Nous découvrons maints délices,
A ce perpétuel festin...
Tu es mon feu d’artifice !
Ne te prive pas de crier !
Arrache ce qui te retient,
Va ! Hurle à t’époumoner,
Ajoute tes soupirs aux miens,
Chantons ensemble ce refrain.
Ton désir est mon épice,
Nous avons les mêmes besoins...
Tu es mon feu d’artifice !
C’est la passion, notre destin,
Plonge en son précipice,
Et aimons nous jusqu’au matin...
Tu es mon feu d’artifice !
Constantin
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Le corps de la femme est comme l'océan, même par temps calme il demeure troublant