Un tueur anodin
Se promenait gaiement et sage
Le long du quai de l'horloge.

L' assassin tuait;
Le tueur assassinait;
Et pourtant il restait
Constament en libertè.

La justice pourtant existait,
Mais ce n'ètaient pas les erreurs erronèes,
Mais ,ce tueur ètait en libertè.

Et il errait l'âme sereine
Le long des quais de la Seine,
Ce tueur anodin.

Tuant, tuant
Tuant encore.

Il se promenait
Tout en tuant,
Sous l'oeil nègligeant
Des passants qui passaient,
Les uns derrièrre les autres ,blasès.

Il tuait et tuait encore
En se promenant en libertè. . . .
Car ce n'est pas un crime
Que de tuer le temps

Salut Snoopy
J'ai bien aimé ta façon de ne dévloier cet assassin qu'à la fin du poème comme je viens aussi de lire du coté de Corbeille et de sa bien-aimée la forêt;je te remercie pour ce très beau poartage
Amitiés
farid

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"Je n'existe que dans la mesure où j'existe pour autrui"
Manet




Mon blog : http://amedyazamazigh.blog2b.net

un texte original

Je ne m'attendais pas à cette fin que je trouve super! Je commençais à haïr ce tueur
Si j'ai bien compris, un jour ou l'autre, nous sommes tous des assassins
J'ai bien aimé cette fin surprise. Amitiés, Titie

Un poème roman policier,qui ne donne la solution qu'au dernier vers,tuer le temps comme cela on vieillirait plus

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:Le crocodile amorphe aux levres de corail descend sans se presser la rue de montmirail




http://snoopymouette.skyblog.com

Bonsoir Snoopy,

Merci pour cette originalité poétique !



Belle soirée !
Mes amitiés
Sybilla

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Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates ""réelles"" de parution.

Le rêve est le poumon de ma vie (Citation de Sybilla)