Je voudrais vous placer
Au chaud dans mon été
Pourvoir vous préserver
Près de moi rassemblés
Vous regarder sourire
Près de vous m’assoupir,
Semés aux quatre vents
Je vous perds à présent
Il me plaît à flâner
Dans ces grandes allées
Parmi vous qui dormez
Dans cette immensité
Ö Dieu ! Vous me manquez !
Je vous ai tant aimés…
Je vis dans le passé
D’où je peux vous guetter.
Martine Alliot Miranda
15/02/2017