TROP LOIN

Une légère brise s'éleva dans le ciel
Et le soleil au loin s'éteignit comme un rêve
Cette mer qui fût bleutée ,devint rouge orangé .
Et de ce temps d'été nous vîmes le temps passé.

Les moments d'insouciances et de joies enfantines
Les quarts d'heure d'espérance et de rancœurs faciles .
Tout ça en une seule heure qui rompis mes humeurs
Celle-ci creva l'abcès comme on tue une tumeur .

Je me regardais là sans être tout à fait las
De vivre ici bas comme un pauvre prélats
Regardant tour à tour le ciel et la pleine mer
Du haut de cette grande tour m'enivrant de cet air .

Un air vigoureux remplissant mes poumons
Mais pour être heureux , il me manque ton clairon
Pour que nos cœurs tout deux rythme à l'unisson
Sans jamais une pleurs , à notre carillon .


Y.2005

UN poème d'une belle élégance


des vers subtils et bien parlants!


bravo Orion


Amitiés

MG

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"il est conseillé de toujours répondre aux imbéciles par le silence"!

Quel envol
Vision qui s ouvre en réunion d émotion

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Amicalement Alanna