Les cœurs palpitant d’effroi
Ne peuvent pas crier victoire
Finale, On se demande parfois
Avons-nous oublié l’histoire ?

Des regards tristes, haineux
Et croisés répandent les tourbillons
De flamme et de fumée de feux
Pour provoquer la suffocation.

Nos cœurs refusent de s’épancher
Sur le sort qui frappe l’humanité
Ou sur le mal maintenu caché
Sous le voile du droit de liberté.

Le temps obscurcit la justesse,
Il change les larmes en boisson
Qui noie les êtres dans l’ivresse
Du pouvoir et des sens sans raison.

Pendant que le tonnerre murmure
Dans les oreilles, le racisme ronge
Fortement tous les esprits mûrs
N’écoutant pas les mensonges.

À mesure que les jours passent
Le vent stellaire ouvre les issues
Favorables en mobilisant les masses
Pour vaincre les hommes pansus.

Dad Allaoua

oui bellement dit
mais on ne s'humanise et les crises respectives le précisent
l'humain de demain ressemble à celui d'hier , il me semble

Oui , DadAllaoua, on croise des regards tristes et haineux.
Mais combien sont nombreux les regards d'humanité !
Parmi eux, et je pense entre autre au merveilleux et gentil dessinateur Cabu,
combien de pacifiques ont été massacrés par des malfaisants.
Bien à toi et merci du partage,
ortiaz

Il ressemble à celui d'hier avec une stratégie différente
Merci pour ta lecture et pour ton joli commentaire
Bonne soiré
Amitiés

Je parle du regard des gouvernants et non des gouvernés
Merci pour ta lecture et pour ton commentaire
Bonne soirée
Amitiés