Assis auprès de toi sous l’arbre centenaire Amer, je te parle du temps De l’air humide et des enfants Et j’attends que bientôt tu dises le contraire.
Je te parle de dieu et d’ange visionnaire De budgets insuffisants De combats et de combattants Et j’attends que bientôt tu dises le contraire.
J’approche le fauteuil et puis je te supplie De me dire une fois encore seulement Que tu n’es pas d’accord avec mon jugement.
La chaise est vide et triste et le vent la remplit, Tu n’es plus près de moi qu’une ombre imaginaire Mais j’aurais tant voulu que ce soit le contraire !
On ressent le poid de l'absence en ton poème. Un seul être vous manque... ami, ou familier, ou amour... peu imorte. Il manque et on aurait voulu que se soi le contraire. Un jolie poème.
La chaise est vide et triste et le vent la remplit, Tu n’es plus près de moi qu’une ombre imaginaire Mais j’aurais tant voulu que ce soit le contraire !