O je peux déja vous dire,
Qu' il découle ma douceur
Répandue parmi les myrrhes
Sur mon lit de lis...

O oui, je peux déja vous lire
Que je me caresse au fesse
D'une colonie des ha!.. des ho!.. des oui!..
Que la nuit dissipéra aux alarmes nocturne et,
En mignonnerie qu'encor'en melancolie.

O je peux déja vous l'ecrire
Une caresse ou une tendresse des vers à soie
Comme l'est le caractère du miroir.

O les femmes salopes,
Elles en savaient l' écrires avant
Ainsi que tant d'autres poèsies;

De prendre en main soie-meme,
D'une câlinerie vers la rose dans un jardin clos,
D'une cajolerie vers une eau de douceur
Dans une fontaine close d'une source scellée.

O je veux déja vous dire, que je suis.

Et pour la douceur de lecture,
Et pour en savoir plus,
Les hommes les font plus tendrement que les femmes.

8-)

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