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     "La chaĂ®ne brisĂ©Ă©"
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Expéditeur Conversation
idyllik
Envoyé le :  19/8/2011 18:36
Plume d'argent
Inscrit le: 23/7/2011
De:
Envois: 230
"La chaîne briséé"
Moi, qui n’ai servit que de cheminée,
Ou brûler vos gueules de bois, et ses écorces de noir,
Pour les faires partir en fumée,
Avec les braise dans vos yeux alimentés par le charbon du désespoir


Moi, qui n’est servit que de gouttières pour ados
Servant à écouler dans les égouts de leurs mémoires ses torrents de larmes,
Qui noyaient leur charpente d’os,
Avant qu’elle ne les ai rouillé dans un silence -vacarme


Moi, qui n’est servit que boite aux lettres,
Assurant la correspondance de vos enveloppes charnelles et de vos timbres de voies,
Ou Cacher vos factures sociales, vos lettres corbeaux et vos dettes
Qui aurait pu abrégé le livre de votre vie en un télégramme bien plus étroit.


Moi qui n’est servis que de caniveau,
Pour ces gouttières humaines
Quand elles Ă©coulaient le flux migratoire de leurs peines, tel un ruisseau de maux
Dans les égouts du chagrins, de leur âme porcelaine






,



Moi, qui n’est servit que de réverbère,
Pour éradiquer l’ombre de la mort, resplendissante de jour en jour
Dans ses ruelles de colère,
Ou était couché dévêtu, vos cœurs mendiant d’amour


Moi, qui n’est servit que de torche humaine,
Quand leur souffrance me paraissait mon propre bûcher
Quand j’absorbé cette essence de la haine,
À leur place qu’on ne cesser de leur aspergé


Moi, qui n’est servit que de bougie,
Pour créer cette étincelle de génie,
Quand le moteur de leur matière grise était noyé
Tel un réacteur collé à leur fusée hierachique, désormais prêt à décoller
Même sous la pesanteur des problèmes ou Sous une ère suffocante
Jusqu’au zénith des opportunités professionnelles parfois nous hante
Même si elles passent souvent sur l’azur de nos rêves comme des étoiles filantes


Moi, et mes jambes si fines qui n’ont servit que d’allumettes,
Pour gratter d’autre macadam
Créant cette étincelle d’amitié naissante
Prêt à gratter le sol jusque le cœur de vos dames
Pour le ravivement de leur flamme quand elles Ă©taient mourantes
,




Mais l’orage s’est disperse,
Sonnant le glas d’un jour nouveau,
Plus besoin de paratonnerre,
L’ombre luminescente de la mort s’est éradiquée,
Je ne suis plus qu’un parasol, trop imperméable
À cette pluie de soleil qui s’abat sur vos êtres, de manière agréable

Alors ils ont changé de trottoir,
J’entends le rires de leur cœurs riches habillé dune fourrure
d’amour,d’une couette sentimentale
Ricocher ses Ă©chos le long des couloirs,
Je ne suis qu’un paratonnerre qui ne doit pas empêcher
Cette Ă©tincelle -Ă©clairs que je vois jaillissante
Quand ils grattent leurs jambes- allumettes,
Sur d’autres chemins croisé ou d’autre macadam générateur, d’amitié naissante

Eux qui ont balayé dans leur mémoire caniveaux,
Sous l’écoulement torrentiel du temps,
Ses tiges rouillé de paratonnerres
Ses Ă©clats de vers de lampadaires
Ses branches rouillé de parapluie,
Ses planches rongé par les termites du temps
De ce sommier mental, exploser
Qui n’à pas supporter le matelas phycologique ou ronfler des rancoeurs
Eux qui ont balayé dans leur mémoire caniveaux,
Ces jambes allumettes
Noyant dans le torrent de l’indifférence
Tel un paratonnerre, un parapluie
Cette étincelle de l’amitié naissante
Laissant s’endormir, tel un sommier, sur le matelas des peine
Cette étincelle de l’amitié mourante
Aucun ramoneur, aucun facteur,
Une amitié dont les timbres et les voies
Aux creux encrassé des cœurs- cheminées sont partie en fumée
Moi qui ne suis servis que de grenier
Ou mettre les cartons qui renfermaient leurs mauvais souvenirs,
Les cartons que de ma langue cutter, encore aujourd’hui se déchire
Pour en retirer l’âme porcelaine, les torches humaines, les cierges en cire,
La fragilité, les âmes damnées, les espoirs parfois qui fondent trop vite, c’est net
Pour en retirer les assiettes fiscales de toutes vos dettes,
Empilés les unes aux autres comme les maillons collé de votre mal être
Que je brisé quand elle vous faisait trop boire la tasse des soucis en tête
Que je refermé du scotch de ma salive vanillé
Une fois ces bols d’oxygène bien empilés

Moi, qui n’est servit que de salle de jeu,
Pour rangé ces damiers humains,
Où coulissaient ses jours pleins d’avenirs, ces jours sans lendemains,
Pour rangé ces jeu du pendu, cette corde raide noué par les enfants assassins
Cette corde raide fruit de l’entrelacement de leur peines et chagrins
Pour rangé ces conversations interminables transformé en ces pings- pongs verbales,
Pour défaire L’effet domino de Vos jeu d’échecs sentimentales
Pour freiner cette mémoire -tourniquet,
Ou défilaient, re-défilaient les uns après les autres ces souvenirs et regrets
Pour arrêter la balançoire des indécisions, des sentiments partagés

Moi, qui n’est servit que de Rez de chaussé,
Pour posé leur tapis rouges,
Ou nous s’essuyons, frottions les crampons finissant par s’usé
D’une amitié en caoutchoucs encrassé
Qui a finit par le tacher,
D’une amitié en caoutchoucs
Si flexible qu’elle a finit par les déchirés

Moi, qui n’est servit que de puit de science,
N’hésitant pas à faire tourner la poulie de mon savoir,
Quand la nappe phréatique déchirée du sol de vos connaissance
Fermentait par les enzyme du non savoir, ce remplissage de vide dans leurs devoirs
La brocante de l’amitié est annoncée,
Tout a été mis en vente,
Les cheminée encrassée, les réverbères grillés,
Les soutiens financiers –parapentes,
Quand ils étaient prêts à foncer tête baissée dans n’importe quels projets
Du sommet de leur aspiration dans le vide de l’ignorance
Les paratonnerres foudroyés d’indifférence partagés,
Les parapluies troué par la pluie des regrets
Les boite aux lettres bloquées, par la rouille de ce dialogue de sourds instauré
Et même les ailes des joies hirondelles mazouter par cet océan pollué de délaissement
On ne m’a laissé que sur la girouette qu’étaient mes sentiments
Pour s’en débarrasser,
Les protége tibia déchiquetés, et qui se sont détachés
À force de courir vers d’autres horizon d’amitié,
Les torches humaines dont la cire des souvenirs amicaux des a trop rapidement coulé
Le scotche de ma salive ma langue cutter,
Ces damiers humains, qui n’ont plus besoin que j’efface le noir mortuaire
Ses pings –pongs verbale qui ne connaissent plus le revers de l’amitié
Les pelleteuses qui gardent encore en leur creux les débris de votre non réciprocité
Les foreuses défoncés à force de creusé jusqu’au profondeur de votre sens d’humanisme
Les filtres émotionnels usagés remplissent de trop de vers caféines, d’un volcan en plein séisme
Ses tapis rouges qui ont pris la poussière du désintéressement
Le sommier mental exploser par ces matelas des rancunes
Les matelas psychiatriques troués
On ne m’a laissé que Cette mémoire–tourniquet qui ne tourne plus désormais
Que sont le vent de la révolte de cette non-reconnaissance et des regrets
Les sentiments -balançoire, qui penche plus vers la colère que le pardon, il est vrai
Ses puits de science vidé par la fertilité de son inutilité

Il ne m’ont laisse que ce maillons que je semble symbolisé,
D’une chaîne de l’amitié qui s’est brisée
Tout n’est plus qu’une décharge d’objet à se débarrasser
Ça prend trop de place pour l’aménagement des nouveaux combles
Des nouveaux velux pour d’autre horizon d’amitié ont été installé,
C’’est pourtant ce bijoutier que j’étais
Qui border vos jours, Couche de rires par couche de rires,
Qui repeignait votre façade émiettée
Qui recousait fil de chair par fil de chair,
Votre tapis rouge souvent déchire
Qui fabriqué échelons par échelons,
Cette échelle de l’amitié
Avait soudé maillons par maillons,
Souvenirs par souvenirs,
Alliance par alliance,
Cette chaîne de l’amitié,
Qui avait fabriqué tige de fer par tige de faire
Ce paratonnerre et Ce parapluie
Émotionnel,
Qui trier lettres par lettres,
Ses enveloppes de maux que vous Ă©tiez,
Colmater canal auditif par canal, auditif,
Ses hommes fontaines quand elles Ă©taient percer

OĂą est passer vos ramoneurs
Qui videra cette cheminée qu’est mon cœur,
De ces charbons de regrets, qui m’ont encrassé de malheur

OĂą est passer votre charpentier,
Comment réparer cette charpente d’os désassemblé
Sans cette échelle de l’amitié

OĂą est passer votre facteur,
N’a-t-il plus le temps de poster ses timbres de voies, ces enveloppe charnelle

OĂą est passer votre plombier,
Qui pourrait colmater ces fuites
De cette gouttiére humaine,
Ou de cette fontaine de tristesse humaine,
Où est passer L’éboueur
Dont le balaie rouge nettoierait cette mémoire - caniveau
De ses déchets sentimentaux intérieurs
Ses lettres froissées, ses timbres de voies déchirées,
Noyé dans le vacarme d’un silence
Mon âme- porcelaine brisée
Ses assiettes fiscales gisant dans ce lit de soucis
Brisé en éclats grâce à mon aide éclair
Mais qui se recollent par le silicone de ces dettes morales
Vous me deviez en clair
Ses bols d’oxygène en fragments par la non reconnaissance
Ses filtres émotionnelle déjà pour eux usages
Effaçant l’encre sang de Ses damiers humains,
Eteignant sous l’écoulement du temps
Ses jambes allumettes
Ses braises de l’amitié éteintes dans vos yeux
Ses maillons rouillé de cette chaîne brisée
Ses planches de sommier rouillé
, ses enveloppes mouillées, déchirer,
Ses branches rouillé de parapluie,
Ses Ă©clats de vers de lampadaires
Ses tiges rouillé de paratonnerres

Mais, je n’ai pas de protège-tibia, à mettre à mon désespoir
Pour me protéger des éclaboussure du passé, le pied de ses souvenirs
Quand je marche dans les caniveaux de ma mémoire,
Qui m’éclaboussent de ce que j’ai pu être et à quoi j’ai pu servir

Où est passer L’éboueur
Dont le balaie rouge nettoierait ce trottoir
De cette essence déversé du désespoir
Qui fait tache d’huile dans le caniveau de ma mémoire
Et Qui dessine sous cette pluie de brouillard
Cet arc en ciel de couleurs en surbrillance proches du noir
Cette chaîne de l’amitié
Brisé maillons par maillons

Ces tapis rouges déchirer,
Fil de chair par fil de chair,

Ces gouttières de l’amitié
Percé canal auditif par canal auditif

Cette façade émiette
Karchérisé couche d’indifférence par couche d’indifférence

Cette échelle de l’amitié arrachée
Echelons après échelons

Ces paratonnerres,
Rouillé tige de faire par tige de faire

Pendant que vous vous ne pensiez qu’à grimper l’échelle sociale,
Que l’amitié n’a cesser de se dégrader ; par une continuité d’alternance
De descendre Ă©tage sentimentale par Ă©tage sentimentale,
De monter Palier d’indifférence par palier d’indifférence,
Et de prendre l’escalier de la descente affective,
Alors MĂ©fiez vous de ne pas tomber,
Rappelez vous de la brocante
De ce que vous avez mis en vente
Symbolisant ce parachute - paratonnerre,
Ce parachute gouttières
Qui aurait pu vous venir en aide
Le jour ou Ă©chelons par Ă©chelons vous tomberez
Mais qui N’a cessé de se dégonfler …
Comme ce matelas affectif, matelas psychiatrique troué par les ronflement de peines,
Le jour ou sur le trottoir votre cœur sera dévêtu, de sa couche sentimentale
Et agonisera d’indifférence, en étant allongé
Amedyaz
Envoyé le :  20/8/2011 5:48
Mascotte d'Oasis
Inscrit le: 7/8/2006
De: Tafraout Maroc
Envois: 17695
Re: "La chaîne briséé"


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"Je n'existe que dans la mesure oĂą j'existe pour autrui"
Manet




Mon blog : http://amedyazamazigh.blog2b.net

AngeDemon
Envoyé le :  20/8/2011 6:57
Plume d'or
Inscrit le: 7/5/2011
De:
Envois: 1943
Re: "La chaîne briséé"
Un beau partage idyllik, j'ai beaucoup aimé ma lecture.
Merci.

Sandrine
anonyme
Envoyé le :  20/8/2011 13:32
Re: "La chaîne briséé"
La chaîne brisée. IRIS
idyllik
Envoyé le :  21/8/2011 17:12
Plume d'argent
Inscrit le: 23/7/2011
De:
Envois: 230
Re: "La chaîne briséé"
merci beaucoup Amediaz,Sandrine ,ET Iris j'ai mis du temps a repondre pour vous expliquer mais je pense que vous avez compris aavoir travailler sur de la degradation methaphorique "tourche-bougie-allumette-Ă©tincelle, etr d'autre maillons methaphorique qui se degrade d'ou la chaine brisee grenier-rez de chausse-puit-degragation par la hauteur voila merci de votre fidelite a me lire bien cordialement
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