Entre les phrases
(le sens diverge)
Connu ou ignoré le français se plait à noircir la feuille de papier,
action saine, ludique, permettant à chacun d’aisément se révéler.
Qu’il écrit des nouvelles, des romans, des poèmes ou simplement,
pas anodin, ces écrits restent dans l’ombre alors que charmants.
L’homme et sa plume ne se reconnait que très rarement du talent.
Exigeant envers lui, trop hésitant il se croit encore sur les bancs.
Bien souvent, au grand dam des yeux étrangers, il se dérobera,
posera dans l’oubli des notes, des réflexions très riches tutorats.
Le prétentieux présentera ses mots mornes sans véritable objet,
se contrediras d’un aphorisme à l’autre en employant l’inutilité.
A côté, il y a toi, qui griffe la feuille à la plume d’une colombe
encrée au sang de ton cœur quand ton masque de soie tombe.
Les phrases consignées, écrites en prose ou en vers avec honneur,
ne peut être que le concept, la pensée ou l’analyse du rapporteur.
Prenez les saintes écritures dûment remmaillées suivant les temps
par des poseurs de mots en termes forts simplifiés et enjolivés.
Il nous faut relire plusieurs fois une formule pour la discerner.
Le fait est que pour se faire concevoir par l’illustre platonicien
ou par le lecteur juvénile, il nous faut trouver un juste milieu,
le réalisme de la pensée se retrouve entre les lignes au mieux.
CHRIS Pour vous
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chris pour vous
salutations
