Aube du jour, aube des temps, sublime instant
Parfum confus et enivrant
Par une frêle nuit, vaste et ensoleillée
Le regard rougit en pleurant
Rythmes souples, immodérés et invincibles
Les couleurs se lèvent et rient
De la triste rondeur, des grandes forteresses
Large crique vers l’indigence
La nature empourprée dans son drap de coton
Égraine les notes éparses
De la renaissance du rêve et de la chair
Depuis longtemps dissimulés
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