Mon dernier cœur.
Tu étais le dernier cœur à apprivoiser
D'une rencontre à qui je voulais en amie
Mais le cours du temps a froissé ta compagnie
Quand il n'était plus à même de conseiller.
Tu avais autant de chaleur qu'un incendie
L'ouverture d'esprit d'un espoir nauséeux
Qui se rassemblant pour devenir belliqueux
Las! Se consuma pour sublimer sa folie.
Tu étais le premier de tous les as de cœur
Quand à la vie allait venir le vrai bonheur
Mais tu t'es éteinte à la force de l'étreinte.
Tu avais la beauté en un havre de paix
Mais ce mal intérieur qui charmait dans la feinte
N'aurait compris sa loi qu'au mépris d'un jamais.
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En vérité l'art est enfermé dans la nature; celui qui peut l'en extraire, celui-là est un maître.
Albrecht Durer
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