Un rayon de la grâce emplit en bien son cœur
De la beauté ardente au pied de sa splendeur.
Y a t'il eu de la douceur en son image
Qui ait le culot de l'amour en son ombrage?

A présent j'échappais à l'enduit du soleil
Sur mon visage hissant la douleur au conseil.
Y a t'il eu de la malice en mon courage
Dont la philosophie fut sage au démarrage?

Un murmure dans la nuit appelle au sommeil
Alors que les ébats se tordent les orteils.
Y a t'il eu de la folie au métissage
Des corps dorénavant avoués au pétrissage?

A présent j'échappais à l'enduit du soleil
De son regard qui se mire en un ton vermeil.
Y a t'il eu de la finesse au déblocage
La beauté du cœur se démêlant au sillage?

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En vérité l'art est enfermé dans la nature; celui qui peut l'en extraire, celui-là est un maître.
Albrecht Durer

http://www.edilivre.com/le-repit-du-silence-23115d53b9.html

http://nihilo1.over-blog.com/

J'aimerai bien prendre la poute d'escampette au soleil tout comme toi,

merci de ces vers amitiés bon Week-end...

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Bonjour Coconuts, une belle invitation à l'évasion que j'ai beaucoup aimée.
Merci pour ce très joli et motivant partage poétique.
Mon amitié.

Capricorne

Du soleil provient le rayon d'un amour serein!

Belle tranquillité à ceux qui s'épanchent en son sein!


Amitiés, Laurent

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En vérité l'art est enfermé dans la nature; celui qui peut l'en extraire, celui-là est un maître.
Albrecht Durer

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