On s’apprivoise, on se découvre,
Et le brun, le bleu se mélangent,
L’esprit là-haut plus près des anges,
C’est peu à peu que les cœurs s’ouvrent.

Sur la pierre froide d’une église,
Nos deux mains chaudes qui se frôlent,
Nos tambours jouent du rock’n roll,
Et nos désirs, des vocalises.

Des nœuds se forment au creux brûlant,
De mes confins, de mes entrailles,
Tu as transpercé les murailles,
De ton écrin annihilant.

Des sentiments nouveaux qui guettent
Tapis dans l’ombre de l’Adieu
A la commissure de nos yeux
Une larme après les paillettes.


Dans une alchimie romantique
Je goutte au sucré de tes lèvres
Je m’enivre de cette fièvre,
Qui devient passion frénétique.

Ton parfum joue avec mes sens,
Qui libère ma folie soudaine,
Tu deviens reine et souveraine,
De mes envies d’accoutumance.

En m’attardant sur ta peau blanche
Et tes contours voluptueux,
Je dessine un trait sinueux
De ma bouche jusqu’à tes hanches.

Pris sous le feu d’amour naissant,
Nos peaux s’enflamment pour un instant
Et les sens encore crépitant
De mon nuage je redescends.
De mon nuage je redescends.

Alexandre

merci pour ce superbe poème d'amour
bonne journée
Denise

une Juliette qui a conquis ton coeur

Un amour de jeunesse

Une belle romance qui renait.
C'est formidable ce romantisme digital.
Belle soirée
Rolland