Il regarde les rouleaux de barbelés
Ses yeux sans gilet de sauvetage
De ses larmes chavire qu’un espoir échoué
Il est passé à la télévision
Celui qui l’a filmé voulait-il garder une image inoubliable réduite à son enfance ?
Comme le film sur cet enfant jouant du tambour qui ne voulait plus grandir ?
Mais lui voudrait crier au hors cadre
Son corps impatient courir dans l’herbe folle
Ne pas se résilier comme un adulte
Car si même un enfant tient , les autres tiendront
Pris dans une imagination en cage d’escalier
Seule sa pensée se détache , escalade les rêves les plus fous
Sur ce sol gorgé d’eau , souvenir d’une traversée périlleuse
Il regarde la fenêtre bouchée
Creuser un trou en dessous les barbelés
Pour une fin de non recevoir ?

il reste un petit espoir derrière les barbelés !!
merci du partage

bravo

Bouleversant vos mots.

Oui un de plus;

Bienvenue parmi nous.

Mes amitiés poétiques.

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La vie est belle il faut savoir l'apprécier.

Merci pour un tel partage

Très fort ressenti...

Bien à vous


Eden

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Il y a des chevaux d'argent qui brillent de mille feux, lorsque s'éteint le jour, lorsque tout n'est plus bruit. Lorsque la folie anime le ciel plein d'étoiles...alors pour quelques instants, quelques instants seulement, rêvons...

Je crois avoir vu aussi cette séquence ,cela m'a aussi choquée , marquée

Quelle misère de nos jours , voir encore des populations fuir leurs pays et refouler ailleurs

On devrait les laisser partir ou ils veulent merci et douce soirée