Et pourquoi vouloir l’effrayer – À quoi bon cette souffrance inutile
N’est-elle pas trop belle pour la douleur
Trop Faible, trop Grande — Pour l’accueillir
En elle — Au-dedans d’elle
Et puis trop Grande — Pour ses vêtements
Est-on sûr — Pour la souffrance rédemptrice
Serait-ce Là — Un moyen de faire taire ce sourire
Si grand — Devant la barrière de ses dents
Et cette chair — Connaîtra-t-elle la Tourmente
Et n’est-ce pas offenser l’Offense
Que de la blâmer pour ce qu’elle a fait
Qui Peut s’ériger en Maître — Pour juger
Tout jugement — Ne nous juge-t-il pas
N’est-ce pas Nous — Alors — la Faute ???????????????

qui peut s'ériger en maitre en effet, même si je ne sais de quel faute il s'agit, peut on parler d'un sentiment de culpabilité ? j'ai aimé le fond et la forme



yann

"Et n’est-ce pas offenser l’Offense
Que de la blâmer pour ce qu’elle a fait
Qui Peut s’ériger en Maître — Pour juger
Tout jugement — Ne nous juge-t-il pas
N’est-ce pas Nous — Alors — la Faute ???????????????"

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Méfiez vous des apparences

Nul n'a le droit de juger en vérité

Mais la faute reste humaine et le jugement reste humain aussi...et selon le degré de la "faute" l'humain monte d'un cran ou plus...

Un partage qui peut faire verser de l'encre, merci

Amicalement

Eden

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Il y a des chevaux d'argent qui brillent de mille feux, lorsque s'éteint le jour, lorsque tout n'est plus bruit. Lorsque la folie anime le ciel plein d'étoiles...alors pour quelques instants, quelques instants seulement, rêvons...