Tu étais la corolle aux roses de ma vie,
La douceur inouïe qui augmente l'envie.
Tu étais le cœur à garder dès aujourd'hui
L'innocence enfouie dans le creux de son fruit.
Tu étais l'hymne à la joie engageant mon âme,
L'espérance d'un bien qui dans son cœur se pâme.
Tu étais l'oubli à en tarir la bonté
La culpabilité à ne plus soupeser.
Tu étais l'énergie de l'idéologie,
Le langage d'un bien qui joue à l'amphibie.
Tu étais le mime à ma vie jusqu'à l'envi
De ton désir d'enfant qui rit et se réjouit.
Tu étais l'hymne à la joie d'un répit indigne,
La dérision d'un bien qui présage du signe.
Tu étais de l'ange le dépit d'un beffroi
Où rêver de l'enfer vaut bien plus qu'un effroi.
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En vérité l'art est enfermé dans la nature; celui qui peut l'en extraire, celui-là est un maître.
Albrecht Durer
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