Le vent te caresse la peau
Dignement levait ses yeux hauts
Comme si celui-ci portait ses soupirs
Complice aveugle de ses sourires
Loin de tout regard, elle se laissa aller
À travers ses larmes. Le regard de l' aimer
Si Pégase était là , elle l'aurait rejoint
Volant parmi les nuages, allant très loin
Des hautes plaines sans chaînes
Son prénom, aveuglément, crierait
Dieu qu'il lui manquait l'infaillible
Marchant écrasant les fleurs de Lys
Aurait aimer avoir son cœur moins triste
Mais que faire si son amour et loin, impassible
L'un oublie parmi les jonquilles exquise
Traîne de torture, elle le vit la voie s'épuise
Tant son regard la presse a travers ces nuages
Faire semblant d’être magicienne, rouage
Lui de son côté la rêve sans trêve, abondante
Souffrance que cette terre lointaine, mais importante
Peu de temps reste de cette séparation horrifiante
Bien qu'un océan les sépare, eux ne savent rien
Pourriez-vous dire sans importance ! Munis et patience ?
Aimé a delà de l'amour tragique détours enclenche
La nuit n'est pas de bon conseil pour ses deux êtres
De jour, le doute les déroute, malmène et saigne
Leurs doux cœurs aimant s'aiment en lieu et partage
Écrit de Laura Laura Poétesse Joannidis le 06-07-2015droit réservé a l'autrice
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