La légion d’honneur
Quel bonheur pour nous d’avoir des héros.
Ces valeureux soldats aux forts pectoraux.
Soldats, mais contre leur propre résolution,
certains ont fait des prouesses en options.
Malgré leur réserve à la violence, aux armes,
c’était au front ou en prison dans le vacarme.
Le choix, pour ces pauvres ouvriers et pères,
n’était en fait qu’un impératif plutôt amer.
Prient dans un engrenage infernal, mĂŞlant cris,
ordres, craintes journalières, les soldats prient.
Le bruit sourd des obus, stridents des avions,
rendent paranoĂŻaques, perdant toute raison.
Un jour oubliant toutes notions de prudence,
l’homme ira rechercher avec grande confiance
un camarade estropié, face aux tirs ennemis.
Sa bravoure sauvera de la mort le conscrit.
A la fin de cette guerre totalement superflue,
Il sera reconnu devant ses camarades poilus.
Un général lui remettra au nom de son pays
le plus grand honneur décerné à un soumis.
Il l’avait bien mérité sa belle légion d’honneur.
Respect monsieur, très bel exemple de valeur.
Pareil à ceux qui par leur courage généreux,
ont évité l’acte mortel de kamikazes religieux.
Par malheur cette médaille perd de sa valeur.
Aujourd’hui par simple vœu hardi et cajoleur,
ministres, couturiers, artistes ou mĂŞme sportifs
en font l’acquisition pour leurs actes opiatifs…
on a tendance Ă perdre beaucoup de choses.
Au fil des années tout s’envole, à qui la cause.
Si on pouvait remanier les valeurs primitives,
et fĂŞter ceux qui ont fait des actions positives.
CHRIS Pour vous
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chris pour vous
salutations
