Les deux jeunes filles marchent au bal du roi soit,
Toutes en blancheur des vêtements être toutes belles se croient,
Mais soudainement une d'elles tombe dans la boue toute sale en grand désarroi,
L'autre brave compagne lui tend sa main comme cela se doit,
Mais la première la tient et l'attire aussi dans son triste état,
Qui va gagner dans cette compétition entre les deux féminins bras?
Quand au palais en même temps se battent le cardinal sanglant sans Croix
Avec ce même blanc roi, quoi,
Et je demande: non, mais ça va pas, la nana?
Elle me repond: ici c'est l'arène de la loi comme ça...
Partout sur terre ce Rwanda...


* blanc roi c'est aussi la couleur du ciel très clair

je n'ai pas tout compris, le lien entre les deux évènements est délicat ou mystérieux, une lecture intéressante et originale



yann

Je ne comprends pas ce poème, mais ça à l'air bien écrit. Peut-être cela parle-t-il de faits d'actualités, dont je ne suis pas au courant. Merci.

j'ai pensé aux génocides du Rwanda , j'ai vu dans tes mots une main tendue envers l'autre et ce de quelque ethnie qu'elle soit , j'espère être dans le juste
amicalement
yohann

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la nostalgie est un bouquet de fleurs enfoui au fond de votre coeur ,
qui vous embaume quand remontent les souvenirs du bonheur ,
yohann