Ce que de verbe en ma cour de pensées à mettre soleil dans un mot,puis l'éteindre, Perçait de l'azur chemins insensés Où tout de merveille,d'un regard l'atteindre
Que de pentes et Dieu sait,qu'ingrat et de ronces Fut jadis comme sentes en haut de falaises Encor me souviens je,ce chemin de l'enfance Marcher de pieds fermes,sur épines et braises
Dans mes yeux,disait mère,coulait l'océan! Qu'elle m'appellait encor:mon beau capitaine ! Sacrée mère ,elle avait le coeur tendre et géant Son amour était en temps tristes ma fontaine
à table,s'entendait louanges et amen! Mon Dieu! quel beau soleil,sourire de ma mère! J'y lisais que le coeur triomphe de toute misère Et que d'un rien peut surgir une belle aubaine
Que n'ai je pas pris des routes d'inconnu sort Et dormi à belle étoile d'un ciel du Nord Sang rebelle et bohémien,qu'en temps de chien Je dansais seul sous la pluie que j'aimais bien
Ce n'est pas à me plaindre que vers j'appose Bien au contraire,que ne donnerai je volontier Pour qu'il revienne ce temps beau romancier Qui faisait savoir ce que dit l'oiseau à la rose.
Ce que d'ondée s'abat sur blé mort à le rendre d'or Ce temps là s'il fut maigre en pain,riche fut il de coeur Nos sourires trouvaient chemin malgré tant de labeurs Et le bonheur comme un oiseau reconnaissait nos ports
Et puis encore c'était façile jadis d'aimer La vie comme un soleil à la main qu'on allumait Et qu'on éteignait le soir pour mieux admirer L'étoile qui dans nos yeux,rêves venait mirer
Qu'est ce que je t'aimais Lisa ô toi qui ne savait Que mon coeur rebelle avait blessures de vagabond Moi qui suivait l'odeur des vagues que portait le vent Moi qui courais le monde et croyais pouvoir le sauver
Aux yeux de mon père,j'étais ce bon Robin des bois Disait ma mère:ce petit a larme dans sa voix Elle pleurait en souriant,me serrant dans ses bras Mon visage contre son coeur,d'amour qui bat
Ce que de coeur jaillissait,le hissait noble d'élan à s'envoler haut en nos âmes comme goélands
Qu'est ce que c'est triste de quitter son enfance Et devenir adulte qui n'aura de sa science Que ruiné son âme et sa belle conscience
Ce temps qui s'enfuit Et l'enfance Qui fuit! Avant hier je parlais de ma fille ,hier soir de vous les femmes et aujourd'hui je lis ces mots et je suis ému comme un papa qui n'a pas vu sa fille grandir et le son du piano me rappelle que j'adore Linda ! Amitiés de plume Marc
pioufff , c'est juste magnifique , quelle superbe plume , j'ai adoré ce voyage en enfance , un beau coup de cœur mes amitiés yohann
---------------- la nostalgie est un bouquet de fleurs enfoui au fond de votre coeur , qui vous embaume quand remontent les souvenirs du bonheur , yohann
- " C'est de couleur à fleur que je viens te rejoindre, dans ce texte à Mots qui se lys dedans, ce qu'à coeur d'enfants, tout se souffre à poindre, tout ce qu'offre de vie sa couleur océan...
C'est peut-être ici, assis en bord de mer, que se soufflent à souhaits tes cheveux dans le vent, A froidures de pensées mais chaleurs de l'hiver renaissant les envers d'avenir du présent ?
C'est de couleur à fleur que je viens te rejoindre, dans ce jardin de coeur d'innocence, arrosé, et de gouttes perlées à pluies fines d'effleure qui se nerve à feuille, à temps larmes coulées.
Au tant de neiges, j'écoute et je ressens le fondu à ruisseau descendant de pieds nus à cortège où tout se baigne encore d'avant. "
Je sais que tu comprends... Blanc et noir de bouquets rayonnant.
Ton poème est magnifique en coeur écrit d'homme et d'enfant. Pardon pour mon retard à commentaire, mais il y avait un chuttt d'élégance à pudeur, dedans.
tant de souvenirs, bons et moins bons.. ceux qui font de nous l'adulte que nous sommes à présent... votre poème est superbe, mais les mots manquent et sont presque inutiles.. suffit de lire et de se laisser emporter par votre poésie.
je suis bouché bée, comment dire ces mots enchanteurs, la merveille de sentiments qu'ils partagent, la sensibilité à fleur de peau, des vers qui éclairent nos cœurs indubitablement, quelle est belle votre route poétique
J'aime cette écriture qui m en rappelé une autre, Et ces souvenirs familier, Il est vrai qu il est dur de quitter l enfance,d autant plus quand On ne l à pas vraiment fini,on est parfois projeter chez les adultes sans L avoir vraiment voulu,
Merci pour ce touchant et sensible poème . Oui comme il est dur de devenir adulte et de perdre cette innocence cette enfance où tout n'était que découverte sans jugement aucun où la nature même nous livrait son langage pour peu que notre cœur y soit sensible !
Merci cher coheen pour ce merveilleux partage
Luz
---------------- Les gens vivent comme s'ils n'allaient jamais mourir... Et meurent comme s'ils n'avaient jamais vécu. Le DalaÏ Lama
Nul ne peut atteindre l'aube sans passer par le chemin de la nuit… Khalil Gibran
En retard que je viens vous dire Merci infiniment pour ce flot de générosité de vos propos et la sève de vos coeurs,le temps ces derniers temps ne me donne pas assez de temps pour être ici,j'essaye de me rattrapper comme je peux,et je vous remercie pour votre patience et votre amabilité de venir me lire...mes amitiés à chacun(e)s....
C'est divin et cyclique comme les étapes de la vie ou les belles images de l'enfance restent ancrées en nous. Une seule lecture ne suffit pas à comprendre la pensée profonde du poète. Charef