Il est vrai que je ne comprends pas grand chose a la grande musique
j'ai cependant tenté d'écrire un hommage un tantinet symphonique
je rencontrai donc chemin faisant Chopin clopant
Non au détour d'une rue ou d'une ruelle mais bien d'un bourg
Un prénommé serge Gainsbourg , lui pas tenté par le diable me parle du Paradis
je n'en menais pas barge et devais bien reconnaître mon ignorance sur ces eaux troubles .
Et tout en me parlant d’une certaine église
Je comprit grâce a ma muse qui m'habite et non l'inverse
Car comme tout le monde le sait après le beau temps vient l'inverse
je comprit donc qu'il me menait sur les traces de dix lustres compositeurs
Et oui qui ne connaît pas la lettre a l'église
Du non moins célèbre Ludwig van Beethoven
mais pour moi c'était grande peine de ne pas confondre avec Mozart
En effet tous deux avaient un Wagner de ressemblance
Mais je me laissais guider sur les chemins de l'art triste
Art triste narrait par le violon car tout le monde sait que le violon scelle
Bien que le violon puisse rendre aussi d’Ingres
Mais cela est une autre corde , corde de Mireille d'Arc
J'avouais a mon grand regret a ma muse mon désarroi
mais quand l'amuse gueule on ne la ramène pas trop
Et puis l'automne se fit plein de pommes , pommes , pommes , pommes
Et autres choux-verts bien que ce ne fusse pas la saison comme me le répétait Franz
Mais je n'en avais cure et décidais de continuer mon enquête musical
Je me retrouvais sur la cote d'azur et rencontrais un certain Eddy
Et alors qu’Eddy Bâclait ces partitions sous la masure
Je fis la connaissance de Bruno qui toujours sous la masure
Me parla d'un certain Baudelaire , poète musical s'il en est
je me prit donc a conter le Rhin beau et ces affluents
Quelle ne fut donc pas ma surprise que mes proses partent vers l'aine
Mais je soudainement fus prit d'une grande soif et m’approchant de La fontaine
je me trouvais fort mal armé
Alors que élise fut venue ( je sais elle est vraiment tirée par les chevaux celle là )
Suite a cette déconvenue je laissai donc mon alter et Hugo de côté
Et devait me rendre a l’évidence , pas un slow , plutôt un tango
Que la grande musique et moi faisions deux je n'y comprenait que dalle
Un coup on me parlait d'un piano ayant prit l'eau , un piano aqueux
Une autre fois on me parlait d'un certain compositeur suicidaire
Qui adorait quand il pleuvait de cordes , bref , je n'y comprenait plus rien et décidait d'abandonner
Mais la les issues me furent fatales , et je me dirigeais la tête haute
La soudain je prends une grande inspiration , j'inspire , Shakespeare
Et me retrouve sur un texte sans queue ni tête
A la hauteur d'un texte musical qui fait Pouet pouet
Sans tambours ni trompettes
----------------
la nostalgie est un bouquet de fleurs enfoui au fond de votre coeur ,
qui vous embaume quand remontent les souvenirs du bonheur ,
yohann