Quand Dieu qui appréhende l’homme
Comme un suppôt de Lucifer
Vit qu’il jouait les astronomes
Et qu’il sentait roussi l’enfer…

De son compas télescopique
Dans le ciel il délimita
En cercles rouges concentriques
Où l’homme irait ou n’irait pas

Ce fut d’abord l’astre solaire
Où un rond rouge put se voir
Puis dans le lointain stellaire
Etoiles, galaxies, trous noirs...

Ne lui accordant que la Lune
Pour y promener ses sabots
Et les planètes quelques unes
Pour y poser « seuls » des robots

Puis se ravisant, le cœur tendre
Il mit le rouge en pointillés
Pensant, s’il ne peut pas s’y rendre
Qu’il puisse quand même en rêver…

Très belle conclusion sur nos limites...

Claude

j'ai aimé

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Lire, c’est rencontrer du monde, au plus profond de soi.

Petit petit homme
Au bon vouloir du mystère
Si frustrant
Sans doute ne saurons nous jamais
Ce qu'il y a derrière le mur

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Amicalement Alanna

Un fin qui donne limite aux moyens....
Bien amicalement Zutalor

Bonsoir Jacques

Au rouge de l'interdit, les rêves sont permis

Amicalement Marie

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L'homme réalise souvent ses rêves et Dieu hélas n'y pourra rien...
Seul Lucifer voulant qu'il crève trouvera que ce sera bien...

Heureusement que nous avons le rêve.

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Il ne faut jamais remettre à deux mains ce que l'on peut faire avec une seule (Pierre Dac)