J'entends les rires des enfants
En éclat rougissant la fin des vacances
Est-il plus excitant que cet amour brûlant
Existant là aujourd'hui et l'aimer sans convenances.
De ces vers essaimés ou de prose adulée
L'aurore pâle , vient saupoudrer l'envie
Et caline le désir en éclat acidulé
Au doux parchemin ou la plume s'ennuie
J'entends tous les souffles emportés sur l'encrier
Aucun mot n'est trop beau au murmure du délicat
Que le rêve nous offre sur le papier
Sublime la puissance créatrice qui nous laisse sans mat
J'entends, mon bel, mon tendre amour
Doucement s'entrouvrir à la lumiere du chemin
La sagesse du destin
En ta sublime présence pour toujours.
Provencao