En mon for intérieur,
Quelques soupirs aux creux de mes lèvres,
Des milliers de mots murmurent en réserve
Lorsque l’Abysse de mon âme se réveille
Les promesses sincères perdent souvent leurs ailes
Prisonniers sont les couchés du soleil sous mes yeux,
Mon cœur est dépouillé d’amour pourtant il pèse une tonne,
Je fane doucement comme les jours d’automne
Et les dernières feuilles tremblent dans un crépuscule frileux
Les flammes sombres et ardentes viennent en moi,
Un paradis noir est l’unique image que je vois,
Lorsque les larmes brûlantes surgissent de moi
Quelques douleurs aux creux de mon cœur,
Des milliers de peines consument mes souvenirs sans voix,
Dans un écho, hurle la douce mélancolie en mon for intérieur
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" La beauté extérieure est la partie visible de la beauté intérieure. Et elle se manifeste par la lumière qui se dégage des yeux de chacun."
- Paulo Coelho