Les Gauloises que j'ai aimées
Etaient toutes d'os et de chair,
Les gauloises que j'ai fumées
Etaient enrobées de papier,
Et toutes m'ont coûté très cher.

Les Gauloises que j'ai aimées
Etaient toutes des libertines,
Les gauloises que j'ai fumées
Etaient pleines de nicotine.

Les Gauloises que j'ai aimées
Etaient des femmes du métier,
Les gauloises, j'en ai fumées
Chaque jour un paquet entier.

Les Gauloises que j'ai aimées
Ne sont plus que des souvenirs,
Les gauloises que j'ai fumées
Ne sont que de lointains plaisirs

Toutes choses qu'on a aimées
Partent à la fin en fumée.

Une prouesse le jour qu'on arrête et ne pas replonger le défi , fumer nuit à la santé

tenir cette idée en tête quand on pense à la cigarette pas fumeuse du tout et ne le regrette pas , j'ai économiser et pas dépenser

c'était les cigarettes que mon père fumaient

Bien voilà moi aussi fini le tabac depuis plus de dix ans merci du partage bonne journée amitiés cher Pierni

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moi le tabac m'a nui et m'a emmené au bloc

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https://www.edilivre.com/peregrinations-29f53ef39f.html/
https://www.edilivre.com/le-spleen-de-la-logique-de-l-absurde-2c490d0b23.html/

Bonjour Pierni

Fort heureusement vous avez laissé les gauloises de celles qui se fumaient, c'est mieux pour votre santé. Quant aux autres elles resteront un pan de vie en votre mémoire.

J'ai aimé cette transition des deux.

Amicalement Franie

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Merci Franie de votre appréciation de mon petit poème et de vos justes observations.
Merci aussi pour leur réponse à Merdesiles, Felinelove, Dolorès etzaghbenife/
Amitié à tous et toutes