Je nettoierai mes maux, aux étoiles qui brillent Ô mer Azur aux allures champêtres Je chérirai les plaines, la quête d’un ailleurs L’aménité des fleurs, l’antre à la solitude
M’arroge la verdure, bois qui me purifie Jeune roturier, Naître ne pas paraître Débottés, plaisirs charnelles venu d’ailleurs Je nettoierai mes maux avec mansuétude
Hermétique temps maussade qui sans soleil trahi Soleil caché, obi, méprise le grand hêtre La lune vile elle, se dit être meilleure
Provoque l’avanie des censeurs éphémères Se retire, puis né le soleil rédempteur Affablement, souffle sa gratitude