L'éloignement réprime la parole
Sous un silence lourd et secret
Image floue à la pensée auréole
Discrète, qui se fane tel un bouquet.
Divague mon rêve, te retrouver en Provence
Qu'il me transporte sur ton âme, belle aura en transe
Divague mon rêve, croire en l'espérance
J'ai aimé ce bonheur, instant de joie et de providence.
Je me souviens ô combien ton regard
Plein de charme et de douceur,
Beaux cils brins, sans détour ni hasard.
Le fougueux baiser s'étouffe sur tes lèvres pâles
Et ton ombre se mue en râle
Pour toujours sur mon cœur.
Provencao