Sur la rime du sonnet, j'ai lu l'espoir. Une lumineuse aura suspendue à l'étoile du temps. Elle illuminait le vers altier, comme ces filaments discrets qui épousent le ciel.
Je l'ai doucement apprivoisé
Et la forte impression que cet espoir m'était familier, là où l'illusion prend son envol..... Entre l'imaginaire et la réalité.
Dans la sérénité des dires, une ode avenante.
J'aime la quiétude du quatrain et de ces pauses récalcitrantes . Presque immortelles juste saupoudrées.
Et l'espoir perdure.......à jamais
Provencao
(Essai de poésie en prose)