Les anges de mon destin apaisent le vide
Que les pensées aimantes caressent, unique chagrin
Quand vos vers soutenus invitent le matin
De ma blessure sourde à votre aura chrysalide.
Dans les profondeurs de l'âme au douceur de miel
Des anémones bleutées esquissent des sourires
Que l'allégresse de l'aura ravit de l'essentiel
Dont elle trame les lueurs sur un jour sans soupirs.
Les alexandrins de l'amitié invitant à la prière
Émerveillent les bontés où se recueille la lumière
Dont la pure pensée offre la quiétude.
Puis un cœur doré annelle un saphir
Dont les brillants de larmes vont s'évanouir
Un sonnet endolori, convalescence à venir.....
Provencao