Il faut feindre aux erreurs de la nature humaine,
Ce qui fait défaut au confluant du déni;
Une folie de plus et la haine est oubli
De l'image de soi jusqu'à la rendre hautaine.

Et cette image est feu des anciens survivants
D'une apocalypse et où son désordre est flamme.
Car à l'amour l'orgueil sera la haine infâme
Où l'écart à l'ancien monde est convalescent.

Or la foi est un rêve envoutant l'air affable
Dans un hymne à la gloire en vanité de droit
Qu'un désir si formel soit mélodrame au choix
D'une volonté où l'art se fait insatiable.

Mais le poète a tant d'amour à exploiter
Dans un sens déconstruit ce qui le fidélise
Sans contraindre l'espoir et jamais n'agonise
En rendant au courage un visage à damner.

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En vérité l'art est enfermé dans la nature; celui qui peut l'en extraire, celui-là est un maître.
Albrecht Durer

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merci pour le partage

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"Je n'existe que dans la mesure où j'existe pour autrui"
Manet




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une vraie discussion philosophique !

ce confluant du déni m'intrigue,

et je trouve que ce mot déni arrange parfois ,et je suis tolérante

Lilas

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la poésie est le parfum de l'ame

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jolie discussion que celle ci