Quand une âme s’éveille à la force d’un rêve
Quel langage pourrait en sublimer l’espoir
Et dire le réel des guerres qu’elle achève
Avant que d’échouer en calme reposoir ?

Serait-ce la geste des cœurs en mouvement
Qui viendrait accomplir sa quête d’idéel
En révélant aux êtres insoumis et vivants
Les desseins effacés des temps originels ?

Ou devrait-on créer libres et sans limites
Des mots, une musique ou le dessin des choses
Pour ressentir l’esprit qui toujours se délite
D’une révolte éteinte à nos métamorphoses ?

Ah ! Pouvoir se donner sans pudeur ni replis
A notre humanité fragile mais prodigue
Pour ne plus altérer de pernicieux oublis
Le cours de ces pensées qui structurent les digues

Préservant nos désirs des dogmes établis…

L'âme est malheureusement formée dès la
naissance donc déformée.

Trouver sa sensibilité profonde est une chose
rare surtout que les remises en question sont
évitées, jetées dans les oubliettes de l'éducation.

Il en résulte que chacun n'agit et ne réagit que
selon ses limites celles-ci étant imposées.

Amitiés

Le doute est l'école de l'âme.
Le questionnement est le moteur de l'humanité.
Le carburant qui en permet le fonctionnement en sont la parole et l'écriture.

"Ah ! Pouvoir se donner sans pudeur ni replis
A notre humanité fragile mais prodigue
Pour ne plus altérer de pernicieux oublis
Le cours de ces pensées qui structurent les digues

Préservant nos désirs des dogmes établis."

C'est ce rêve là qu'il faut transformer en réalité !

Bravo et merci Fanch pour ce partage.
Amitiés.
Ruben.

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Pendant que l'on attend de vivre, la vie passe.
SÉNÈQUE.Ruben

Ô digue, ô désespoir, ô faiblesse ennemie
Que j'ai trouvé ici dans cette poésie.

GUY

une révolte existe en chacun de nous
mais on ne peut l'exprimer
qu'avec la liberté

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Geneviève

Merci à tous!