Dans l’écrin de son cœur
Se cache une immense douleur
Et les larmes coulent sur ses joues,
Pauvre maman qui pense à vous.
Vous ? Vous êtes partis sur l’autre rive,
Elle ? Elle part à la dérive.
Adieu merveilles et bonheur fou,
Pauvre maman qui pense à vous.
Une mélodie, comme un violon
Semble faire danser l’horizon,
Alors, l’espoir la fait se mettre à genoux
Pauvre maman qui pense à vous.
Elle lève les yeux vers le ciel
Croyant apercevoir vos blanches ailes,
Elle goûte le sel de ses larmes,
Cristaux de saphirs qui désarment,
Joignant les mains elle prie pour vous
Car la vie continue malgré tout…
M. P. 07/01/07
Pour Rosaria en hommage à son fils Pascal et son petit fils François
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nos amis sont des anges silencieux qui nous remettent sur pieds lorsque nos ailes ne savent plus comment voler.