La larme s’accouple avec la larme /




La larme s’accouple avec la larme
Aussi longtemps que sonnera l’alarme
Viendra pour toi à l’oreille s’étendre
Rien d’autre ne pourra nous surprendre /

Et tant que la chair sera terroir tendre
Elle restera sur son fil en suspend
Renonçant à s’étendre à s’épandre
Jusqu’à ne plus rien y entendre comprendre /

Si vient poindre si loin le mourir
Alors le puits en moi de mes yeux tarir
Il sera sans fond un son profond et creux /

Et cette ligne rude du dernier séjour
Sera éternellement vraie pour tous ceux
Qui prient l’Amour avec Toujours //

merci pour ce touchant poème
bonne soirée
mes amitiés

*Beau et touchant*
Amitiés
Célia

Beaux échos de mots dans cette poésie!
Une étrange et belle musique, envoûtante et déroutante...
"Jusqu'à ne plus rien y entendre comprendre"
Difficile de trouver le "vrai", un long parcours sur cette ligne rude jusqu'au point" final"(?) ...de l'éternité.

Merci , mes amitiés,

Rosaly

une jolie lecture touchante