La chaleur de la nuit habillait ton corps nu.
Tu étais allongée, les jambes écartées
Dans les bras de Morphée ou d’un autre inconnu
Songeant , je le pensais, à plus de liberté.

J’approchais donc un peu la main de ton visage.
Je sentais sur mon bras ton souffle régulier,
Ton souffle si chaud, si perceptible et si sage
Que j’ai vite oublié ton souffle familier.

Je le sentais brasier que je voulais baiser,
Je le sentais élan qu’il fallait apaiser
Je me sentais envie de plaisirs oubliés.

Ma main passait partout sans même te toucher,
Elle s’arrêtait plus bas et aussi sur tes seins…
Je t’avais fait l’amour et tu n’en savais rien.

Un texte tout plein de sensualité, bel écrit sur un désir parcouru en images.........

Effleurer sans toucher, j'ai apprécié ton poème.

Franie

Magnifique lecture où frole la sensualité de l'image en restant si sage

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Bonjour Nicolas un beau poème plein de sensualité.
Capricorne

Bonjour Nicolas,


Une superbe lecture.


J'ai adoré entrer dans ton imaginaire.


Très belle sensualité aussi.


Toute mon amitié


Arwen

Merci Plume d'or, perpetior, Capricorne, Arwen...
La suite arrive...

troùblant, sensùel, délicieùx,

yann

Merci Yann.
Au prochain.

En même temps tu n'as fais de mal à personne...
Et au minimum
Un peu de bien à toi...

Bonsoir
Bravo
À bientôt
Merci
Thierry

Une chaleur que tu as su nous communiquer à travers ce poème tout en sensualité ! je sors sur la pointe des pieds pour ne pas troubler cette belle intimité !



Luz

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Les gens vivent comme s'ils n'allaient jamais mourir... Et meurent comme s'ils n'avaient jamais vécu.
Le DalaÏ Lama

Nul ne peut atteindre l'aube sans passer par le chemin de la nuit… Khalil Gibran

Très, très beau....

Amitiés

Plumedoiseau

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La poésie c'est une lettre d'amour adressée au monde.
Charlie Chaplin