Les liserés,
La brise du soir
Lorsque tu viens t’asseoir
Fait d’un souffle léger
Frémir ta jupe de soie
Dévoilant un peu
Mais déjà beaucoup
Aux liserés de tes bas
J’y accroche mon regard
A défaut d’être sage
Accepte-le comme un gage
Lorsque tu viens t’asseoir
Et sur mon épaule
Poser sans ambages
La douce chaleur
De ton corsage
Ecrin de tes charmes
Aux liserés de tes bas
Mes mains s’égarent
Sur le satin
De ta peau dévoilée
D’un souffle léger
Tu me murmures
Les mots que j’aime
Ceux qui nous entraînent
Au cœur de l’ivresse
Et tourne…manège
Kernanet
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D'une succession de mots naissent des phrases qui font des histoires de tout et de rien....
"Alain"