A grands coups de pioche, j’suis la carte
Toutes les notices sont claires, en onze langues
Un idiot me regarde, l’enfant à qui Descartes
A seriné, « Tu penses donc tu es », yin-yang....

Profondément ancrées, nos dualités brillent
Energie sombre contre quintessence, un combat
Galaxies enfouies dans un sac de billes
S’entrechoquent, hasard du tirage, branle-bas...

Ayant perdu ma virginité dans d’autres contrées
Éloignées d’un simple clic, clac, merci la mémoire
Vers qui se tourne ces anciens temples, cons très
Broussailleux, envahis par des miettes de grimoires.

Déflorés les hymens de la connaissance, émois.
Détenus par des hordes sacrées, secrets à taire,
Oui j’ai bu à la conne essence qui fait de moi
Le plus chanceux des légions de scribe –secrétaires.

Je ne sais que penser d'un écrit qui me parait être à double sens .
HONORE

un joli partage

joli amitié poète1947

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"Aimer ce n'est pas se regarder l'un l'autre mais c'est regarder ENSEMBLE dans la même direction" Saint Exupéry"