ls m'appellent, ils me supplient
Je me bouche les oreilles
Mais ces cris me poursuivent
C'est un déchirement cruel

Venant de la table de nuit
Ces voix qui m'interpellent
Me donne des envies
Impossible de trouver le sommeil

Un parfum vient chatouiller mon nez
J'en meurs, j'en bave d'envie
Mais comment résister
Quand on se sent seule la nuit

Ils me narguent, je le sais
Ils font tout pour m'embêter
Ils ne pensent qu à me provoquer
C'est de leur faute si sur eux je me suis jetée

Par délicatesse, j ai quand même choisi le plus petit
Mais les autres ont suivi
Je n'ai pu m'arrêter
Et de ce fait je me suis "goinfrée"

Que Dieu me pardonne ma gourmandise
Mais quoi qu'on fasse ou quoi qu'on dise
Que ce soit un par un ou en quantité
Une boîte de chocolats, c est pour être mangé

CQFD

Il est bien souvent compliqué de s'arrêter (sourire) il faut vite éloigner la boite!

Merci pour ce partage agréable

Amicalement

Eden

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Il y a des chevaux d'argent qui brillent de mille feux, lorsque s'éteint le jour, lorsque tout n'est plus bruit. Lorsque la folie anime le ciel plein d'étoiles...alors pour quelques instants, quelques instants seulement, rêvons...

trop difficile de ne pas succomber à la tentation !!

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http://www.mespoemes.net/eolienne/

https://www.amazon.fr/Souffle-poétique-Adeline-alias-Éolienne/dp/2414163232

https://www.edilivre.com/sur-les-ailes-d-eole-adeline-mela-eolienne.html

Elles l'ont bien cherché ces bestioles chocolatées. Plus qu'une petite ronflette pour les digérer.

je suis décor, Picasso a eu sa période bleue, les poètes ont leur période truffes en chocolat, non mais, merci du délicieux partage



yann