Je laverai mes mains de ce sang si impur,
J'élèverai aux cieux mon amour pour la vie,
Je brandirai l'éclair de la force infinie
Pour galvauder l'espoir de me rendre plus sûr.
Je m'épouvanterai de la nuit, son cortège
A suivre en la pénombre une essence à mon cœur,
Et écarter l'heure où s'organise la peur
Afin que la colère envisage le piège.
Maintenant élevons-nous devant les bastions,
Que le terrorisme aille au bout de nos leçons
Car nous devons choisir l'élément primordiale,
Savoir qu'il faut rendre à la peine sa rançon,
A la beauté du temps qui devient idéale
N'envisager par là que sa coalition.
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En vérité l'art est enfermé dans la nature; celui qui peut l'en extraire, celui-là est un maître.
Albrecht Durer
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