Assis dans le gazon,
A regarder l'horizon
Le ciel qui fonçait
Vers les étoiles illiminées.

Assis dans le gazon,
A sentir à l'unisson
le vent qui soufflait,
Vers le Sud .. nous emporter.

J'aime les souvenirs de la terre,
Ceux qui nous interpellent,
Ceux qui nous rappellent...

J'aime les séquelles de la terre,
Celles qui nous aménent
Celles qui se souviennent.

Assis dans le gazon,
A regarder qu'au fond,
Nos racines oubliées,
Sont notre propre passé.

J'aime les souvenirs de la terre,
Ceux qui nous interpellent,
Ceux qui nous rappellent...

J'aime les séquelles de la terre,
Celles qui nous aménent
Celles qui se souviennent.

Assis dans le gazon,
Nou deux au plus profond
A regarder le ciel se coucher
Et regarder à nouveau...

Le ciel se lever

J'aime les souvenirs de la terre,
Ceux qui nous interpellent,
Ceux qui nous rapellent...

J'aime les séquelles de la terre,
Celles qui nous aménent
Celles qui se souviennent.

Bienvenue sur le site avec cette merveilleuse chanson......
Au plaisir de te relire.......

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Merci de m'encourager. Avant j'ai beaucoup écrit sur le site de l'usine.. moralité vingt textes pérdus.. là j'ai juste essayé l'une de mes moins meilleurs bonnes compositions..

mci

je vais réecrire..
bises

Une jolie ronde de souvenirs !

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et oui la terre est notre pain quotidien. Merci de nous ramener à la réalité !

Un belle entrée sur le site avec cette chanson !

bravo et merci

bisous

Je te souhaite la bienvenue parmi-nous 8-)

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http://www.mespoemes.net/eolienne/

https://www.amazon.fr/Souffle-poétique-Adeline-alias-Éolienne/dp/2414163232

https://www.edilivre.com/sur-les-ailes-d-eole-adeline-mela-eolienne.html

Restons sur terre et surtout dans l'oasis ou ton beau poème a toute sa place.
Amicalement
Henry

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BIenvenue sur Oasis et très joli poème ! J'ai bcp aimé ....

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Les amis sont comme les anges qui nous soulèvent lorsque nos ailes ne savent plus comment voler

Comme l'a dit Stéphanie, ce pourrait être une bien jolie chanson avec son refrain, assis dans le gazon, à penser à l'unisson aux racines cachées, au temps qui passe, à l'existence, aux souvenirs dont on ne se lasse. mille bisous à toi

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merci.. merci beaucoup.. dans la foulée j'en avais réecrit un qui m'a été balayée comme une poussiére comme si un par jour était une régle. Comme si on avait demandé à Beaudelaire que ses écrits devaient être en 50 ans de vie.. Nous écrivons comme nous respirons mal, quand on a mal de bonheur ou de pleurs ... il m'arrive de n'écrire pendant des mois et d'écrire 15 dans la nuit.. cette régle est mal fichue.. comme si o avait un contrat de composition "t'écris ton bouquin en 5 mois" et bioen non à cette dicature on écrit quand on veut ... 5 par nuitsd et 5 ans dix ans... quelle importance?

mci encoreCitation :