La plume gratte délicatement le papier,
Ce doux son apaise les mots de l'âme,
Il n'est plus l'heure des sombres drames,
Laissons les larmes enfin se raréfier.
Les maux s'envolent grâce à la douce plume,
Aurais-je, finalement, pris du plomb dans la tête ?
A entendre que notre monde sans fin se consume,
Entre les balles envoyées par de faux prophètes.
Toujours plus de liberté et de hauteur,
Si nous laissions la place au bonheur ?
C'est le rôle de ce dont je suis l'auteur,
Si vous êtes touchés c'est un honneur.
L'espace est soudain atteint, le néant,
L'esprit vagabonde entre les milles étoiles,
Le cœur a ralenti ses fous battements,
Il est temps que l'apaisement se dévoile.
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" It matters not how strait the gate,
How charged with punishments the scroll,
I am the master of my fate:
I am the captain of my soul.”
Henley