A vous ma Mie qui savez tant....
Votre œil est pers et il m’éclaire
Quand il émet son doux regard,
Sans rechercher quelque salaire.
Ici le temps est bipolaire,
Capricieux dans son brouillard,
Votre œil est pers et il m’éclaire.
Si cet endroit est fait pour plaire
Votre discours est sans pétard,
Sans rechercher quelque salaire.
Notre amitié vit dans son aire
Pour un soutien, sans nul retard ;
Votre œil est pers et il m’éclaire.
Dans une aura fort populaire
Vous écrivez le soir très tard,
Sans rechercher quelque salaire.
Vous savez tant me satisfaire
De textes fins emplis d’égard.
Sans rechercher quelque salaire,
Votre œil est pers et il m’éclaire.