tourments de la nuit,
qui délivrent tant de rage
pardonne à celui , qui se donne,
dans ses consonnes ,qui résonnent
ses voyelles, toutes aussi chères
pour créer ses mots dorés.
assembler, dans des phrases
qu'il veut en phases,
pour trouver la lueur,
tout au fond de ce cœur
qui déjà se meurt.
se perdre dans son passé
est sa seule liberté
trop souvent abandonner
il ne peut que rêver
de ses moments oubliés
au fin fond de ses pensés.
crier ses envies, sur ses écrits,
est pour lui, son dernier sursis,
poète et ami, il reste c'est promis,
sans haine, ni chaînes, il se traîne
pour voir ,un jour ,un soir
se dessiner dans son espoir,
ce mot aimer, tant espéré
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lagrib 
"D'Amour je ne me "lace",je vais du coup tel "un va nu-pieds"
